Dans cette nouvelle crise politique, le SNES-FSU réaffirme l’urgence d’une rupture avec les politiques d’austérité et la nécessité de concrétiser la justice fiscale, sociale et environnementale.

La crise politique entre dans une nouvelle phase après la démission du Premier ministre et de son gouvernement nommés pour mener la même politique hostile au monde du travail. Cet épisode ne peut que renforcer la crise de confiance dans les institutions et la démocratie. C’est l’extrême droite qui, une nouvelle fois, peut tirer profit de cette crise en se nourrissant du désespoir social et politique né de 7 ans de macronisme.
Le SNES-FSU rappelle solennellement son opposition aux idées d’extrême droite : par nature, xénophobe et raciste, l’extrême droite est un danger pour l’École publique, pour nos élèves, nos collègues et pour la démocratie. L’extrême droite a une vision réactionnaire et antirépublicaine de l’école. Elle attise les divisions qui peuvent exister dans le monde du travail pour privilégier les intérêts du patronat. Le SNES-FSU est déterminé à poursuivre ses mobilisations syndicales, dans le cadre le plus large possible, pour empêcher l’extrême droite de parvenir au gouvernement.
Ci-dessous le communiqué de l’intersyndicale Education (FSU, UNSA Éducation, FNEC FP FO, CFDT Éducation Formation Recherche Publiques, CGT Educ’action, SUD Éducation) et le communiqué de la FSU