Charente-Maritime :
  • 14h30 Place de Verdun à La Rochelle : marche et animations
  • 17h00 Café Azimut à Mireuil : expo et discussions

Vienne :

Rendez-vous 17h30 place Lepetit – Poitiers

  • 17h30 Prise de parole du Collectif 8 mars
  • 18h15 marche aux flambeaux vers la M3Q
  • 18h30 M3Q table ronde animée par le Planning Familial
  • Petite restauration prévue sur place
  • 20h30 M3Q Spectacle Berck-Plage

Deux-Sèvres :

14h, place de la Brèche à Niort : mobilisation pour dénoncer les violences sexuelles et sexistes et pour exiger des politiques publiques et un budget à la hauteur des enjeux.

STOP aux violences sexuelles et sexistes au travailLes violences faites aux femmes sont l’une des violations des droits humains les plus répandues dans le monde. Considérées unanimement comme un véritable fléau, les violences sexuelles et sexistes traversent toutes les sociétés, les classes sociales et tous les espaces (privé, travail, école…).

Elles sont systématiquement exacerbées dans les pays en conflits armés où les viols et les meurtres de femmes deviennent des armes de guerre. La FSU exprime sa solidarité internationale avec les femmes palestiniennes et israéliennes victimes d’un conflit sanglant sans précédent, avec les femmes afghanes dont les droits les plus élémentaires sont bafoués, avec les femmes iraniennes et kurdes qui se soulèvent pour leur liberté, avec les femmes du haut-Karabach et plus généralement avec les femmes du monde entier qui résistent et luttent pour des sociétés justes, égalitaires et démocratiques.

Lutter pour éradiquer les violences faites aux femmes, un engagement fort du syndicalisme.

La France n’est pas épargnée avec plus de 97 000 viols recensés chaque année, dont 8 000 sur le lieux de travail. Les chiffres concernant les violences conjugales ne diminuent pas et, depuis 2017, 844 féminicides ont été commis. Ces violences sexistes et sexuelles ne sont pas une fatalité et nécessitent des politiques volontaristes et des moyens financiers ambitieux pour les éradiquer. Des lois existent qui obligent les employeurs publics et privés à protéger les victimes mais le gouvernement et la Fonction publique, comme le ministère de l’Éducation nationale ne sont pas à la hauteur. Alors que toutes et tous s’accordent pour exiger 3 milliards dédiés, la France ne dépense que 184 millions d’euros – ce qui constitue son plus petit budget. Aucun dispositif n’est actuellement à l’œuvre ni généralisé pour enseigner une véritable culture de l’égalité à l’École. Il a fallu aussi une détermination sans faille des militant·es de la FSU pour obtenir une cellule d’écoute dans les académies pour les victimes ou témoins de violences sexistes et intrafamiliales. Mais faute de moyens et de volonté, ce dispositif, rendu obligatoire depuis 2018, reste embryonnaire et les employeurs publics freinent pour réellement sanctionner les auteurs et accompagner les victimes.

Dans ce contexte où des personnels sont à protéger, où les élèves doivent bénéficier de formations, où de nouveaux droits sont à conquérir la FSU s’associe à l’appel collectif et unitaire signé par plus de 60 organisations féministes, syndicales et politiques pour réussir la mobilisation du 25 novembre.

Dans cet article, vous retrouverez l’ensemble des outils de la mobilisation :

  • Le communiqué FSU.
  • Les visuels revendicatifs à diffuser.
  • Le supplément « femme » de l’université syndicaliste n°839.
  • Le communiqué FSU.
  • L’appel unitaire.

Visuels 25 novembre

Publication spéciale « Femmes », supplément de l’US n°839

Communiqué FSU : Le 25 novembre, la FSU engagé pour éradiquer les violences sexuelles et sexistes

 

Appel unitaire 25 novembre